jeudi 11 novembre 2010

LES B.T DE LORELEÏ : THEORIE N° 3 : POURQUOI BAKARY SAGNA RESSEMBLE-T-IL A UN POUSSIN RASTA SOUS ACIDE ECHAPPE DE SON POULAILLER ?


LORELEÏ TROUVE TOUJOURS UNE BONNE EXPLICATION A TOUT, MÊME AUX ÉNIGMES LES PLUS OBSCURES !

AUJOURD'HUI, LA QUESTION EST : POURQUOI DONC BAKARY SAGNA RESSEMBLE-T-IL A UN POUSSIN RASTAFARIEN SOUS ACIDE ÉCHAPPÉ DE SON POULAILLER?


LORELEÏ VOUS RÉPOND !


Une nouvelle énigme s’impose aujourd’hui à nous: Pourquoi donc un homme semblant détenir les meilleurs passepartouts que la vie peut bien offrir aux plus chanceux d’entre nous, pourquoi donc un homme, qui avait pourtant plutôt bien commencé sa vie (il était noir, il était français d‘origine sénégalaise, il n’était pas forcément trop trop moche, il jouait au foot, et plutôt assez bien pour quitter les méandres calamiteux du championnat français et tutoyer celui, prestigieux, de cette bonne vieille grosse Élisabeth, dite Zaza, Reine de GB de son état, et être coaché par le non moins talentueux et tempétueux Arsène Wenger...
Rajoutons à cela qu’on ne lui connaît de plus à ce jour ni symptôme de pieds carrés, ni aucune protubérance disgracieuse sur ses extrémités tels que des cors, des durillons, des verrues ou encore des ongles mycosés, fléaux footballistiques sévissant vilement sans vergogne et desquels notre sujet semble miraculeusement être épargné. Que son podologue nous contacte si ici nous nous méprenons.), pourquoi donc cet homme-là, disais-je, sabote-il de lui-même, purement et simplement, sa vie et sa destinée si singulièrement extraordinaire en décidant, un beau matin qu’il s’est levé, certainement après une grosse cuite d’après-match, de se faire faire une coiffure qui le fait tout bonnement ressembler à un poussin rasta sous acide qui se serait échappé de son poulailler?





Loreleï vous explique tout :



Sans nul doute, tous les Dieux (ou du reste une grande partie, l’autre ayant répondu positivement à l’invitation que leur avait faite Dionysos de participer à son Orgie annuelle organisée par lui-même, aidé de son Comité de Lutte Contre la Chasteté et la Sobriété – le célèbre mais néanmoins controversé CLCCS - qui se déroulait le même jour à la salle des fêtes de l’Acropole, à Athènes) s’étaient penchés sur le berceau du petit Bacary Sagna, en ce jour de février 1983. Un privilège rare et d’une valeur inestimée accordé à une frêle minorité élitique sur lequel Baba (oui, soyons intimistes ! Lol) semble aujourd’hui impétueusement cracher. Parce qu’il faut bien l’avouer, oser arborer une coiffure pareille, c’est tout bonnement se foutre délibérément de la gueule des forces supérieures occultes (dieux, fées, elfes et chanteurs de country en tête) qui jadis lui offrirent l’or et l’encens, la myrrhe et les petits pains au lait dans leur package «tu seras un joueur de foot talentueux et reconnu, mon fils». Pourquoi? Dans quel but? Vers quelle destination? Quel est le projet? Loreleï va, par le truchement de sa théorie ci-après exposée, tenter de vous l’expliquer…


Que ceux qui pensent que cet «accoutrement capillaire» ridicule est dû à un choix et à un goût personnels passablement douteux réalisent qu’ils se méprennent : Non, un homme de sa trempe, pour lequel les plus hauts pontes divins ont sélectionné les qualités humaines les plus valorisantes et remarquables afin de les lui concéder, ne peut vraisemblablement pas être totalement dénué de bon goût à ce point-là ! Cette thèse absconde est une hérésie abominable pour la Logique ! Il est grand temps, pour la survie et le salut de tous, et surtout pour ceux de notre petit Bakary, que je dévoile ma propre thèse au Monde afin que la vérité soit enfin rétablie :

Le petit Bakary Sagna, ayant joui des faveurs divines comme j’ai pu l’expliquer plus tôt , est un grand humaniste dans l’âme, doué d’altruisme et de compassion comme d’aucun ne peut s’en targuer sur cette planète Terre. Mais pas seulement. Il est aussi un grand érudit, passionné de livres en tous genres, et plus précisément des biographies de Grands Hommes. Et de Grandes Femmes !

Un soir que le petit Bakary déambulait dans les allées emplies de livres du CDI de son collège (oui, le petit Bakary avait ce pli de venir chaque soir après sa dernière heure de cours se ressourcer dans cet antre culturel collégial, fuyant son quotidien morose de sportif dont le milieu est trop fait d’énergumènes incultes, afin de puiser dans les livres qu’il y trouvait la Science nécessaire à l’étanchement de sa grande soif de Savoir…), il tomba sur un épais recueil qui, alors qu’il l’ouvrait et le feuilletait furtivement, l’interpella. Ce n’était autre que le manuscrit de la biographie de la grande Mata Hari et, animé par une frénésie folle que les quelques mots qu’il avait lu avaient fait naître en lui et qu’il n’avait jamais encore ressentie, il couru à grandes enjambées, l’ouvrage sous l’aisselle, jusqu’à chez lui, et en oublia même de faire tamponner la fiche dudit livre par la dame du CDI (qui ne manqua pas de le rabrouer durement le lendemain de cet intolérable affront envers l’autorité scolaire, il faut bien l’avouer). Et il lu le livre entier en une nuit.

Depuis ce jour, émerveillé par la vie héroïque et palpitante de la belle espionne, Bakary Sagna se jura à lui-même de devenir un jour, une fois qu’il eut été grand, un admirable agent secret au service d’une cause digne de ce nom. Mais il savait aussi que le football, accaparant presque tout son temps, l’empêcherait ardemment de pratiquer ce noble passe-temps de manière assidue. Mais le football, pas bégueule, le rattrapa et lui offrit l’opportunité d’exercer ses talents d’espion en faveur d’une grande et noble cause humaniste. Et voici comment le Football fit de Bakary notre nouvelle Mata Hari :

Bakary, qui voue aux siens une amitié sincère et sans discontinuité, se lia assez tôt avec un autre joueur qui se prénommait Franck Ribéry. De parties sur Super-Nintendo en vols de bonbons à la boulangerie, d’acquisitions de coussins péteurs en matchs de ping-pong endiablés, de solides affinités se créèrent. Et perdurèrent, malgré les années. Devenus grands, les deux compères s’aperçurent vite tous deux que l’un et l’autre n’avaient pas le même succès auprès des filles, et cela peinait beaucoup Bakary, tant il était sensible et préoccupé de la condition de ses amis. La célébrité des deux hommes grandissant et aidant, Francky connu miraculeusement de moins en moins d’échecs frustrants auprès de la gent féminine. Mais Bakary n’oublia jamais, ô grand jamais, combien son ami avait eu à souffrir tant de fois de continuer à jouer à PES pendant que Baba, lui, partait s’exiler dans la pièce voisine en charmante compagnie.

Aussi, quand il fut un jour béni contacté par la grande mais néanmoins discrète Organisation Secrète du Monde du Football (l’OSMF, connue de tout joueur qui se respecte, qui vise à enquêter sur les mœurs, us et coutumes de ce milieu vil et impitoyable) afin d’en devenir l’un de ses plus fidèles et dévoués agent secret, Bakary n‘hésita pas une seconde. Et, entraîné par un zèle rare que son amitié pour Francky avait enfanté, proposa même au grand directeur de l’OSMF (dont nous tairons le nom dans un profond soucis de confidentialité) le sujet de sa première (et unique, à ce jour) mission au sein de l’Organisation : Faire une étude sociologique comparative par mois et par année du nombre de jeunes femmes acceptant de s’encanailler avec lui après total enlaidissement de sa personne sur une période de dix ans. Il est inutile de préciser qu’au terme de son étude décennale, Bakary, lors de la remise de ses conclusions sur cette dernière, n’oubliera pas de la dédier à son ami de toujours, Franck Ribéry, en terme d’hommage et de compassion envers sa piètre condition antécélébritique.


Et c’est ainsi que, sortant des locaux de l’OSMF investi de cette épique et vaillante mission, Bakary se rendit au salon du coiffeur le plus dénigré du pays et lui demanda de bien vouloir réunir tous ses talents les plus enfouis afin de l’affubler de la plus horripilante et inénarrable coiffure qu’un homme put afficher. Il en ressortit avec la tête qu’on lui connaît.

La légende ne dit pas combien, depuis lors, Bakary Sagna réussit à avoir de conquêtes de sexe féminin. L’étude n’étant visiblement, que dis-je, ostensiblement toujours pas achevée, les chiffres officiels ne seront communiqués aux grandes instances de l’OSMF qu’une fois celle-ci aboutie. Il y a une morale à toute cette histoire, souvenez-en vous bien :
L’amitié sincère va bien au-delà des difformités physiques et, bien plus qu’en amour, elle est capable de nous faire accomplir les œuvres les plus folles, même celle de se transformer en poussin rasta sous acide qui se serait échappé de son poulailler
.



Mais ce qu’il faut que vous reteniez, à tout jamais, c’est la conclusion de ma thèse, qui est :

SI FRANCK RIBERY N’AVAIT PAS RATE SON BUS QUI DEVAIT LE MENER JUSQU’AU CLUB DE CROQUET DE LA VILLE DE BOULOGNE-SUR-MER EN CET ULTIME JOUR D’INSCRIPTION DE CE DERNIER, IL NE SE SERAIT PAS RABATTU SUR LE CLUB DE FOOTBALL DE LA MÊME VILLE LE LENDEMAIN, N’AURAIT PAS BOUSILLÉ LA VIE DE CE PAUVRE BAKARY SAGNA QUI LUI-MÊME NE SE SERAIT PAS OBSTINÉ A NOUS POLLUER IMPUNÉMENT LA VIE DE MANIÈRE VISUELLE DEPUIS UNE PÉRIODE DÉRAISONNABLEMENT TROP LONGUE A PRÉSENT.




Nous ne voyons pas d’autres explications !



A demain pour une nouvelle théorie !

dimanche 31 octobre 2010

LES BONNES THEORIES DE LORELEÏ - THEORIE N° 2 : MAIS POURQUOI DIANTRE MENZO FAIT-IL PARTIE DE LA FONKY FAMILY ?




WARNING !

N.B AVANT LECTURE DE CETTE CHRONIQUE : POUR TOUS CEUX QUI S'INSURGERONT, CECI EST DE L'HUMOUR ET RIEN D'AUTRE ! JE N'AI RIEN DE PERSONNEL CONTRE MENZO, LA F.F, LES HANDICAPÉS, LES TOURS BUS NI MÊME LES OURSINS !

"ON PEUT RIRE DE TOUT, MAIS PAS AVEC N'IMPORTE QUI".


***

LORELEÏ TROUVE TOUJOURS UNE BONNE EXPLICATION A TOUT !


AUJOURD'HUI, LA QUESTION EST : MAIS POURQUOI DIANTRE MENZO FAIT-IL PARTIE DE LA FONKY FAMILY ALORS QU'IL RAPPE ENCORE MOINS BIEN QUE LE FERAIT MA GRAND-MÈRE SOUS POPPERS LÂCHÉE DANS UN BATTLE ?


LORELEÏ VOUS REPOND !


Comment expliquer qu'un combo aussi talentueux que le fut la Fonky family à ses grandes heures (période "Si Dieu Veut") ait accepté d'intégrer en ses rangs un mec qui, avouons-le, doit sûrement mieux réussir à faire un triple salto arrière jambes croisées doigts dans le nez avec réception sur le gros orteil droit puis roulé-boulé sur le côté que de rentrer un seize mesures correctement sans passer pour un dégénéré attardé ?


Loreleï vous explique tout :


D'aucun affirme que Menzo, Comorien d'origine, est seulement membre de la F.F afin qu'il y ait un énergumène capable de représenter cette communauté largement majoritaire à Marseille et ainsi, la fédérer au groupe. Comme le petit Soprano, à l'époque de la formation de la F.F, n'était encore qu'un sale morveux haut comme trois pommes qui ingérait ses crottes de nez (qui a dit que ça n'avait pas changé ???!!), le seul représentant des Comores disponible à Marseille à ce moment-là était Menzo (son cousin Patrick étant parti à la chasse aux oursins dans les Calanques).



Il y a certes une grande part de vérité à cela (Bien que l'on n'ait jamais pu vérifier si Patrick était effectivement parti pêcher l'oursin ou s'il avait pris le chemin du PMU marseillais le plus proche pour se pinter la gueule avec les copains.). Cela étant dit, cette supposition, à elle seule, ne peut prétendre à une tangible explication de ce drame national musical qui nous a fait bousiller les bandes magnétiques de nos cassettes de la F.F à force de passer en avance rapide tous les couplets que Monsieur Menzo nous infligeait.


Je tente ici de rétablir une vérité et de rendre à César ce qui lui appartient : Non ! ne jetez pas la pierre à la F.F ! Ces pauvres gens n'étaient pas fous ! Ces pauvres gens n'étaient pas sourds ! Ces pauvres gens avaient une solide raison d'accueillir en son sein cet ersatz de MC qui rappe encore moins bien que le ferait ma grand-mère sous ecstasy ! Pour leur honneur, je me dois aujourd'hui de vous l'expliquer. La voici :



Être musicien dans notre beau pays hexagonal est une chose ardue de nos jours : On court après les producteurs, les concerts, les cachets, les journalistes qui écrivent des choses mauvaises à notre encontre afin de les tabasser... Et lorsqu'on parvient enfin à signer, auprès d'une major ou d'un label indépendant, il ne faut pas croire que tout est gagné ! On se doit d'économiser chaque denier. (Les temps sont durs, on vous a dit, suivez !!).



Aussi, alors qu'en indépendant fougueux on sillonnait les routes de campagne, de concert en concert, à bord de notre rutilante Super 5 rouge où l'on s'entassait à 6, voilà qu'une major met à la disposition d'un groupe fraichement signé un énorme Tour Bus afin de partir en tournée. Une aubaine, me direz-vous ? Que nenni ! C'est là que notre drame prend forme.


Je ne sais s'il vous est venu un jour à l'idée de garer un Tour Bus sur une place ne pouvant accueillir qu'une Super 5. ne le tentez pas : C'est impossible. Aussi, nos jeunes rappeurs ce sont retrouvés confrontés à ce grand dilemme que tout musicien connaît et qui est : "Mais on va le garer où, ce putain de tour bus de meeeeeeeeeeeeeeerde". C'est là que l'énigme Menzo est résolue.



Pendant que les autres groupes musicaux galéraient à trouver une place assez grande pour ranger leurs beaux Tour Bus et collectionnaient les amendes gentiment distribuées par nos amies les Pervenches, la FF a trouvé la solution : Ils ont intégré Menzo dans leurs rangs. Ainsi, grâce à lui, ils ont pu se garer sur toutes les places handicapées avoisinant la salle de concert où ils se produisaient sans crainte de se prendre une amende !


C'est ainsi que j'explique la présence de Menzo au sein de la Fonky Family : Sans lui et sa carte handicapé, le Tour Bus de la FF n'aurait jamais trouvé à se garer aux abords des salles de concert et aurait compilé les amendes.


Croulant sous les dettes, ils auraient fini par devoir dissoudre le groupe après avoir dilapidé les recettes de "Si Dieu Veut" afin de les éponger et l'album "Art de Rue" n'aurait jamais vu le jour... Ce qui n'aurait pas été un mal, tout compte fait.





NOUS NE VOYONS PAS D'AUTRE EXPLICATION !



A demain pour une nouvelle théorie de Loreleï !
(SI JE SUIS ENCORE EN VIE ! lol)


jeudi 21 octobre 2010

LES BONNES THEORIES DE LORELEÏ - THEORIE N° 1 : LE FOOTBALL ET SES SUPPORTERS !




LORELEÏ TROUVE TOUJOURS UNE BONNE EXPLICATION A TOUT !


AUJOURD'HUI, LA QUESTION EST :
POURQUOI UN SPORT AUSSI PEU VIOLENT QUE LE FOOTBALL RÉUNIT-IL LES SUPPORTERS LES PLUS BELLIQUEUX QUAND UN SPORT AUSSI BRUTAL QUE LE RUGBY RASSEMBLE DES AGNEAUX JOVIAUX ?

LORELEÏ VOUS RÉPOND !


Comment expliquer que le Football est le sport qui compte le plus de supporters agressifs alors qu'il est une pratique considérée comme peu dangereuse et brutale, comparée à celles du rugby et du football américain qui pourtant, à contrario, réunissent à eux deux des supporters passionnés mais joviaux et distingués lors de leurs rencontres sportives ?



Loreleï vous explique tout :


Il faut avouer que, malgré mon amour pour ce sport et les passions qu'il peut déchaîner, le football ne possède pas de règles de jeu et de tactique très compliquées ; tout au plus vous faut-il vous concentrer pour assimiler les règles du hors-jeu et, cela étant fait, un pénalty et un coup franc sont à portée de compréhension de la première huître lobotomisée passant par là.




Au contraire, le Rugby, et bien plus encore le Football Américain, détiennent des règles de jeu et de tactique d'une complexité rare (surtout en ce qui concerne le Football Américain), si bien que même une huître éduquée par Einstein et surdopée ne s'y retrouverait pas quant à l'assimilation de leurs règles, et donc à la compréhension des-dits jeux.



Autrement dit, quand le Rugby et le Football Américain requièrent d'avoir fait BAC+10 + Thèse pour compter parmi les rangs de leurs supporters, le Football quant à lui, sûrement dans un primaire élan de désir de fédération multi-classial socialiste (à vérifier : Le Foot a-t-il été crée par un socialiste ? Ce me semble probable ! lol), a instauré des règles de jeu si simples qu'il suffit d'avoir validé sa 3e année de Maternelle (2e si on est allés à la crèche) pour les intégrer.



=> Conséquence, pendant que le Rugby remplit les stades d'Einstein de tous poils et de tous horizons venus applaudir avec leurs marmailles les champions de leur sport favori entre deux résolutions d'équations à 42 inconnues, le Football bourre en partie ses gradins d'abrutis dégénérés dont le QI avoisine celui d'un têtard dont le seul neurone a carbonisé après Tchernobyl.





=> Le résultat ? Vous pouvez sans crainte emmener votre enfant de 3 ans assister à une rencontre de ballon ovale, et vous feriez mieux d'éviter de l'emmener à celle du ballon rond, sous peine de le retrouver en très mauvais état à la sortie (votre enfant, pas le ballon).




=> Conclusion : Si le foot avait été un peu plus compliqué à comprendre, la pétanque aurait été LE sport réunissant le plus de supporters violents (et ça, ça aurait été vraiment trippant à voir, j'vous le dis.)





NOUS NE VOYONS PAS D'AUTRE EXPLICATION !




A demain pour une nouvelle grande théorie de Loreleï ! :D

mardi 19 octobre 2010

Welcome to Y'all

"Aujourd'hui, Maman est morte.". Tels sont les quatre premiers mots par lesquels Albert Camus a, un jour de l'an 1942, décidé de débuter l'une de ses œuvres les plus connues et récompensées : L'étranger.

Le commencement, tout comme la fin de chaque chose, bien plus encore lorsqu'il s'agit de littérature, est quelque chose que nous souhaiterions tous comme aboutie, réfléchie, étonnante et détonante, emplie de génie. Quand bien même l'entre-deux pusse-t-il être un peu insipide, si le début et la fin de cette chose que nous entreprenons relève d'une quelconque maestria, alors le chemin est déjà à moitié fait, alors le pari dans lequel nous nous sommes engagé est d'ores et déjà gagné.

Notre réalité actuelle, qui se trouve être virtuelle, fait qu'on ne sait jamais vraiment quand notre "œuvre", celle de bloguer, sera achevée. A défaut donc d'en réussir la fin, il en va de l'honneur que son commencement soit parfait.

Je n'aurai jamais la suffisance nécessaire pour me targuer de pouvoir faire un lancement aussi percutant et brillant que celui qu'a produit Camus 68 ans auparavant. Mais je peux, du moins je le pense, vous accueillir ici le plus humblement, en souhaitant que ma prose vous percute, vous parle, comme si mes mots avaient ce pouvoir de retranscrire nos maux.

So, Welcome... Hope You will enjoy !